Pierre-Florentin Champel, la « porte d’entrée » de l’équipe Communication

Pierre-Florentin est responsable communication des projets de CFI. À la fois chef d’orchestre et « porte d’entrée », comme on le surnomme au sein de l’équipe, Pierre-Florentin veille au rayonnement de l’agence et à la mise en valeur de ses actions. Zoom sur son parcours, entre Paris et le Mans.

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portrait illustré Pierre-Florentin Champel

 

Pierre-Florentin, en quoi consiste votre métier chez CFI ?

Mon rôle est de communiquer sur les projets et de leur donner de la visibilité, auprès de différentes cibles : bénéficiaires, bailleurs, collaborateurs… Lorsque les personnes responsables de projets souhaitent communiquer sur leurs activités, elles s’adressent à moi : je leur propose alors toute une série d’actions de communication, dont j’assure ensuite la mise en œuvre à l’aide de mes collègues – essentiellement le responsable des réseaux sociaux et la responsable des éditions – et différents prestataires. Je joue un rôle de chef d’orchestre. Je gère et coordonne les projets du début à la fin, en mobilisant les bonnes personnes pour que tout soit fait en temps et en heure. Actuellement, je travaille également sur un projet un peu inédit pour moi : l’organisation du Forum Médias et Développement de CFI, qui se tiendra à Paris les 11, 12 et 13 juillet.

 

Dans quel contexte s’est déroulée votre arrivée chez CFI ?

C’était en juillet 2020, en plein Covid ! Ma prise de poste s’est faite en télétravail à 100%. J’ai été recruté à l’origine en CDD de 6 mois pour créer un site de conseils à destination des journalistes, au sein de la Direction de la Communication. Mener à bien cette mission sans connaître l’environnement de l’agence, les locaux ni les visages n’a pas été facile. Mais je me suis bien adapté. Lorsque ma mission s’est terminée, j’ai commencé à travailler sur des actions de communication. Comme cela se passait bien, et que la Direction avait besoin de renforts, j’ai été embauché en CDI sur mon poste actuel de responsable communication des projets.

 

Pourquoi avoir choisi CFI ?

À la suite de mes études, j’ai travaillé pendant 4 ans chez Total, comme chargé de projet sur des projets de développement local. L’objectif était d’améliorer les conditions de vie des populations présentes sur les territoires couverts – créer des écoles, former des enseignants, des techniciens etc. C’était un poste intéressant, mais Total a la réputation que l’on connaît, et l’aspect business était trop présent pour moi. J’avais envie de continuer à travailler sur des projets de développement, mais sans cette dimension « profit » trop marquée. J’ai créé une entreprise avec des amis, puis le Covid est arrivé. J’ai dû changer de stratégie. J’ai postulé chez CFI sur la recommandation d’une connaissance, et après avoir passé un entretien dans un restaurant, car CFI était fermé pendant le covid, j’ai été embauché !

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illustration gare montparnasse
“La gare Montparnasse, un lieu de transit que je fréquente assidûment ! Je travaille entre Le Mans, où j’habite, et Paris, au sein des bureaux de CFI.  Je fais donc des allers-retours très fréquents, et le train est une sorte de deuxième maison pour moi !”

Quelles sont vos plus grandes sources de satisfaction dans l’exercice de vos fonctions actuelles ?

J’aime beaucoup la dimension relationnelle de mon métier. Je suis en contact avec un grand nombre d’interlocuteurs et interlocutrices, essentiellement au siège. Comme les équipes ont la possibilité de travailler deux jours par semaine en télétravail, nous nous arrangeons pour être au bureau les mêmes jours, et ainsi fluidifier les échanges. J’apprécie aussi beaucoup l’autonomie et la confiance dont je bénéficie, grâce à un responsable flexible et qui n’hésite pas à déléguer. En termes de missions, ma préférence va à l’événementiel. Je suis notamment très heureux de participer à l’organisation du Forum Médias et Développement. C’est la première fois que je gère un événement aussi important – 300 personnes de 45 pays attendues en présentiel, auxquelles s’ajouteront tous les visiteurs à distance. Je suis confronté à une certaine pression, mais c’est un bel enjeu ; et à la fin, je verrai les résultats concrets de mes efforts !
 

En termes de missions, ma préférence va à l’événementiel. Je suis notamment très heureux de participer à l’organisation du Forum Médias et Développement de CFI

Qu’est-ce qui est plus difficile au quotidien ? 

Je suis amené à gérer un nombre de plus en plus important de projets à la fois – 24 projets pour l’Afrique, et 19 projets pour la zone Méditerranée-Asie – présentant des temporalités, des contextes et des enjeux très différents. Chaque projet se divise en une infinité de micro-actions, de choses à vérifier, à contrôler… cela peut parfois être beaucoup pour une seule personne ! Heureusement, j’ai de bons outils de gestion de projet, et des collègues coopératifs qui prennent des initiatives et font preuve de beaucoup de professionnalisme. 

 

Quelles sont les grandes qualités nécessaires à l’exercice de vos fonctions ? 

Il est bien sûr important d’être extrêmement bien organisé. Étant donné le nombre de projets et d’événements à gérer, rien ne peut être laissé au hasard ou à l’approximation. Il est également primordial de savoir anticiper : dans le cadre d’un événement, par exemple, il faut penser à tout, des objets promotionnels aux visuels, en passant par le montage de vidéos… Enfin, il faut être à l’aise dans les relations humaines, pour que les échanges se passent au mieux, que les projets avancent vite, et faire en sorte que tout le monde regarde dans la même direction.

 

Vos souhaits pour l’avenir ?

Voyager encore un peu plus, consolider mes compétences en communication, et surtout monter en puissance sur la partie événementielle.